Lourdes, avec plus de 5 millions de pèlerins par an, dont 500 mille jeunes, est l'un
des tout premiers lieux de pèlerinage du monde, avec Rome, Fatima ou encore Compostelle.
La ville s'est donc développée, humainement et économiquement, autour des apparitions et
des pèlerinage qu'elles suscitent. La plupart des rues, des magasins et des hôtels portent des
noms d'inspiration chrétienne.
Tous les mouvements d'Eglise, ou presque, ont un pied-à-terre à Lourdes, pour
présenter leur spiritualité, leurs activités et éventuellement recruter !
On y côtoie des jeunes et des moins jeunes, hommes et femmes, garcons ou filles de
toutes races, langues et cultures. 6 langues y sont officielles et pratiquées dans le Sanctuaire...
et dans les magasins on y parle : francais, italien, espagnol, anglais, allemand, néerlandais.
Tous les diocèses de France organisent un pèlerinage annuel pour emmener des malades à Lourdes.
Les grandes familles religieuses y organisent aussi des rassemblements nationaux. Chaques années, le
pèlerinage militaire internationnal regroupe 40 000 jeunes dont la majorité d'appelées.
Lourdes est avant toutun lieu de prière : on y vas en tant que "Chercheur de Dieu", pour renouer des liens
distendus ou confirmer sa foi.
Beaucoup de personnes vont à Lourdes en dernier recours, après avoir tenté tout ce qui était
humainement possible pour guerir une maladie, se réconcilier avec quelqu'un ou trouver un sens
à leur vie. Toutes les questions, toutes les angoisses, ont leur place a Lourdes, on y retrouve des
prêtres, religieux et religieuses, laïcs, souriants et acceillants.
Un rien peut changer une vie, comme par exemple d'être écouté avec respect et tolérance pour la première
fois de sa vie.
A Lourdes, tout est important, dans le comportement, les paroles et l'attitude qu'on a avec les autres .
Pèlerins parmis les pèlerins, laissons-nous porter pas l'ambiance de prière qui regne dans les Sanctuaires.
Profitons-en pour faire le point sur notre vie spirituelle, et si nous avons des questions n'hesitons pas
à les poser aux personnes compétentes.
Beaucoup de jeunes, lorsqu'ils vont a Lourdes, pensent d'abord à servir. Il ne faut pas pour autant
negliger la prière et la rencontre. On ne peut pas donner beuacoup, de son temps ou de sa patience, si
l'on a pas puisé en Dieu la force d'agir !
Quand à ceux qui se disent athées, qu'ils soient rassurés à Lourdes, ils ne seront pas jugés.
Qu'ils profitent seulement de leur séjour pour accepter de se laisser poser un certain nombre de questions.
On y voit des gens venir toucher le rocher des Apparitions, l'embrasser ou même l'essuyer avec un
mouchoir. Les malades tiennent à " passer sous le rocher ". cela nous surprend et nous sommes parfois
tentés d'y voir de la magie.
Peut-etre .... Mais avant de juger,il est important de se souvenir de ce que nous dis la Bible : "Le
Seigneur est mon rocher".
C'est le nom, c'est le titre que l'Ancien Testament donne le plus souvent à Dieu. Car il est fort et solide
comme un roc et on peut s'appuyer sur lui sans crainte... Aussi, le geste qu'il faudrait faire, ce n'est
ni d'embrasser le rocher de la grotte, ni de le toucher, mais de poser la main sur lui, de s'appuyer dessus,
longuement, comme on s'appuie avec confiance sur l'épaule d'un ami.
S'appuyer sur le Rocher de Lourdes, c'est une manière de dire :
On voit des gens rapporter des bidons énormes remplis d'eau de Lourdes, comme si elle étais un
médicament-miracle. On ridiculise ces "Saintes Vierges" en matière plastique pleine d'eau de la Grotte.
On se demande pourquoi les malades et les biens portants tiennes tant à se faire plonger dans l'eau glacée des
Piscines. on risque de perdre ainsi le sens de cette eau.
Elle n'est pas un medicament. Mais elle est bien plus de cela. ELLE EST UN SIGNE, UN RAPPEL. Le signe de l'eau
qui coule du côté transercé du Christ sur le bois de la Croix, le signe de l'eau qui a coulé sur notre front
le jour de notre baptême, le signe de l'eau promise par Jesus à la Samaritaine.
Aller se laver ave l'eau de la Grotte, c'est croire que l'amour du Christ mort pour nous, nous lave de nos fautes
Aller se plonger dans l'eau des piscines, c'est se souvenir de notre baptême.
Aller boire à la fontaine, c'est reconnaître que seul de Christ peut aujourd'hui nous désaltérer de notre soif de bonheur.
A Lourdes, on brûle chaque année des tonnes de cierges. Chacun tient à mettre un cierge avant de partir
et souvent des gens nous demandent de le faire à leur place.
On met un cierge pour demander une guerison, pour reussir un examen...
Bien sur on peut mettre un cierge à la Grotte pour demander quelque chose. Mais ce n'est pas la première raison.
Le cierge qui brûle à Lourdes nous rappelle que le Christ ressuscité est la lumière qui guide notre route.
Il nous rappelle qu'au jour de notre baptême, nous avons recu un cierge allumé à la flamme du Cierge Pascal.
On vient mettre un cierge à la Grotte pour entendre le Christ nous redire : " VOUS ETES LA LUMIERE DU MONDE"
pour prendre au serieux le "oui" de son baptême et pour s'engager à en vivre, là où l'on revient, après Lourdes.
Le cierge qui brûle à Lourdes apres notre depart symbolise la continuité de notre prière.
Voici le pélerinage des Vosges qui vient de se dérouler du 10/07/00 au 16/07/00.
Je vais vous raconter à travers des photos les evenements les plus marquant de ce pélé....
C'est très simple :
Les brancardiers ont pour coutume de porter des bretelles. Cela vient du temps ou pour porter
les brancards, on utilisait des bretelles pour moins se fatigués les bras.
Un groupe de jeunes Stagiaires Anglais ont créées, en 1998, un groupe qui s'apelle les MIB.